FRANCOUZSKÁ LITERATURA 2

1. Pierre Corneille

(1606-1684)

= « Le grand Corneille », « Corneille l'aîné »

• est un dramaturge, poète et traducteur (- nouvelle édition accompagnée de discours critiques et théoriques) français du XVIIe siècle qui fait partie intégrante mais en même temps controversé des mouvements BAROQUE et CLASSICISME (représentant de la génération préclassiques)

• en ce qui concerne sa vie et sa situation famille, il vient d´une famille la bourgeoisie de robe (Son père est « maître des Eaux et Forêts de la vicomté de Rouen », sa mère est issue d'une famille d'avocats et son frère cadet Thomas sera lui aussi auteur dramatique.

Formation)

• il était élevé à Rouen par les Jésuites (= ordre religieux catholique fondé pour lutter contre la réforme protestante, me qui se en même temps concentré au enseignement en utilisant des pratiques théâtrales dans une perspective pédagogique découvre une passion)

après des études de droit, occupa des offices d'avocat à Rouen tout en se tournant vers la littérature, comme bon nombre de diplômés en droit de son temps

• ses premiers vers sont conduits par ses premières amours, à la suite de quoi (následkem čehož) il passa naturellement à ce qu'on appelait à l'époque "la poésie dramatique" particulièrement les "Pièces comiques" – Mérite

• il proposa sa pièce à l'une des nombreuses "troupes de campagne" qui venaient régulièrement jouer quelques semaines à Rouen Dès 1629, il fait jouer à Paris où il fait partie de plusieurs troupes de théâtre œuvres comme Clitandre, la Veuve, la Galerie du Palais, la Place Royale,

• ces comédies lui a gagnées l´attention de l'archevêque de Rouen écrit une pièce de vers latins en l'honneur de Louis XIII, de la reine et de Richelieu Il devient dès lors l'un des protégés du cardinal

• mais Corneille reprend vite sa liberté, et, alors qu'il donne sa comédie la plus originale (l'Illusion comique, 1636), le succès de sa première tragédie, Médée (1635), infléchit sa carrière, confirmée par le triomphe du Cid

= une pièce de théâtre tragi-comique qui était inspiré par la langue et la littérature espagnoles - une pièce de théâtre de Guillén de Castro Las Mocedades del Cid (Les Enfances du Cid) très criticisée par les savants (entre la comédie et la tragédie; ; les régles du théatre clasique; le sujet n'était pas de l'Antiquité ; la France engagée dans la guerre franco-espagnole = une pièce dont le sujet, le titre, les personnages et les décors sont espagnols)

• Corneille se tait pendant trois ans et finalement s'incline. Il écrit des tragédies « régulières » (Horace, 1640 ; Cinna, 1641 ; Polyeucte, 1642 ; Rodogune, 1644…)

• Marié en 1640 avec Marie de Lampérière, Corneille a six + il renonce à ses charges d'avocat trois ans plus tard

• En 1651, l'échec de Pertharite le décourage brutalement. Pendant sept ans, il ne s'occupe que d'une traduction en vers de l'Imitation de Jésus-Christ (1656)

• En 1659, il tente de reconquérir son public mais la plupart des suffrages vont maintenant à Racine, dont la Bérénice (1670) obtient un succès bien plus vif que Tite et Bérénice, que Corneille fait jouer la même année. (oba soupeřili o literární výsluní V roce 1670 požádala anglická princezna Henrieta, manželka Filipa Orleánského, dva významné autory své doby, Jeana Racina a Pierra Corneille, aby každý z nich sepsal svou verzi veršů o láskách Bereniky)

• Les dernières années de sa vie, il est passé dans la pauvreté

• En ce qui concerne son œuvre qui représente la seule tentative du théâtre français pour se constituer en théâtre historique et politique, on peut dire que le théâtre de Pierre Corneille comporte deux inspirations correspondant à deux temps de sa vie. Le premier temps – le moins connu – est celui de la comédie, d’une peinture d’actions légères, insolentes, peu morales : c’est un auteur joyeux et caustique qui fait rire son public. Le second temps – malgré deux pièces comiques au début de cette deuxième période est celui des tragédies. Cette deuxième inspiration, qui cherche à élever l’âme et l’esprit du spectateur, prend toute sa force à partir du Cid tragique cornélienne qui est affirmé surtout grâce au ses pièces à sujet Romain qui est construit autour de cas conscience « CONFLICT CORNÉLIENNE », qui déchire le Héro = les impératifs du devoirs X exigence de la passion

• Dans la plupart de ses tragédies (sauf Cid), il respecte pour l´essentiel les règles de théâtre classique (= la logique, symétrie, les trois unités (temps, lieu, action), la bienséance, les thèmes basés sur l´histoire, la mythologie = pas connecté avec la vie contemporaine